Ici tout commence en avance : Teyssier culpabilise et fait tout pour aider Anaïs, Antoine drague la mère de Coline… Le résumé de l’épisode 1053 du lundi 25 novembre 2024

La semaine commence difficilement pour Anaïs, qui a du mal à supporter ses aides auditives. Teyssier se sent responsable de l’état de santé de la jeune cheffe. Quant à Myriel, il passe la seconde avec la mère de Coline. Des événements à découvrir dans l’épisode d’Ici tout commence du lundi 25 novembre.

Dans l’épisode d’Ici tout commence du lundi 25 novembre… Scolairement, Inès en fait voir de toutes les couleurs à Zoé, qui capitule et passe le relais à Lionel, persuadé qu’avec lui sa petite sœur va filer droit. Alors qu’il est censé retravailler son concept, Lionel ne pense qu’à Inès. Quand il doit lui expliquer son cours de maths, Lionel perd patience. Evidemment l’adolescente ne lui facilite pas la tâche. Lionel, qui ne comprend rien au devoir de sa sœur, va demander de l’aide. L’occasion d’apprendre que Billie était une tronche en maths. Il lui explique qu’Inès le “rend dingue”.

Ici tout commence en avance : Antoine drague la mère de Coline

Carla n’apprécie pas l’initiative de Bérénice, qui a tenté de faire embaucher la mère de Coline. “Fournir l’Institut aurait permis à sa mère de ne pas faire faillite”, souligne Bérénice. “Vous avez pensé à Rose, deux secondes ? Ta mère pense que c’est une tarée qui a tué son frère juste pour le fun”, s’emporte Carla. […] Comment vous avez pu faire ça dans mon dos ?”, demande-t-elle avant de partir, fâchée.
De son côté, Rose pousse Antoine dans les bras de la maraîchère dont il semble être sous le charme. Cela sans savoir bien sûr qu’il s’agit de la mère de Coline, son ancienne belle-sœur donc.
Plus tard, alors que Coline discute avec sa mère, celle-ci semble absente. En réalité, telle une ado, elle est sur son téléphone et sourit bêtement en rougissant à chaque nouveau message qu’elle reçoit. Quand sa mère a le dos tourné, Coline regarde qui est l’expéditeur des messages et découvre qu’il s’agit d’Antoine Myriel. Pire, ils ont bientôt rendez-vous…

Ici tout commence en avance : Anaïs, virée du Double A ?

Milan explique à Enzo et Vic, inquiets, qu’il accompagne Anaïs chez l’audioprothésiste. Il raconte que les médecins lui ont dit “qu’elle avait trop attendu pour se faire opérer et que les lésions étaient irréversibles maintenant.” Pourquoi l’appareillée demande alors Vic. “Parce qu’il lui reste de l’audition résiduelle”, répond-il sans savoir ce que cela signifie vraiment. “Il va falloir s’habituer car ça ne redeviendra plus jamais comme avant”, dit Milan.
Ce matin, Teyssier enchaîne les coups de fil pour expliquer pourquoi la dégustation de la cheffe Grimbert a été annulée. Pas question d’évoquer l’état de santé de la jeune femme mais plutôt un problème technique avec la chambre froide. Pas question non plus d’annuler l’événement, Teyssier veut le décaler. “J’essaye de gagner du temps, dit-il à Antoine. J’ai besoin de savoir dans quel état elle [Anaïs] est avant de prendre une décision.” Clotilde intervient pour lui dire qu’Anaïs ne retournera pas en cuisine et que la priorité est de la remplacer au Double A. Elle souligne au passage qu’elle a enfermé Sam dans la chambre froide. Un détail dont se cogne Teyssier, qui prévient qu’il n’est pas question de virer Anaïs.
Constance, qui connaît son mari sur le bout des doigts, comprend que celui-ci se sent coupable. “Je ne me sens pas responsable, je suis responsable”, nuance Teyssier. Il regrette d’avoir poussé Anaïs et craint qu’elle ne puisse jamais cuisiner à nouveau. “C’est une battante”, lui rappelle Constance.

Ici tout commence en avance : L’état de santé d’Anaïs préoccupe ses amis

Dans les cuisines du Double A, l’ambiance est morose. Tout le monde pense à Anaïs. “Les gars, s’il vous plaît, on reste positif. On connaît tous Anaïs, c’est une meuf qui se bat, qui ne lâche rien”, rappelle Jude pour regonfler le moral de sa brigade.
Au même moment, le médecin d’Anaïs règle avec elle ses appareils auditifs. Si elle entend à nouveau, elle est gênée par tous les petits bruits parasites que le commun des mortels ne perçoit même pas. Quant aux voix, celles-ci ressemblent à celles de robots.Anaïs s’inquiète, elle n’a pas reconnu la voix de Milan. “C’est normal c’est parce que les sons que vous percevez sont traités de façon synthétiques”, explique le médecin. Vous distinguez déjà les voix humaines, c’est déjà une grande chance.”

Ici tout commence en avance : Anaïs va-t-elle devoir abandonner la cuisine ?

Teyssier passe à la colocation pour voir Anaïs, fatiguée par le port de ses prothèses. “Faut pas que vous vous en vouliez chef”, lui dit la jeune femme. Mais cela ne change rien au fait que le directeur se sent coupable. “Bien sûr que je m’en veux. Je t’ai trop mis la pression. J’ai été trop loin”, lui dit-il. Anaïs reconnaît qu’il avait raison : elle stagnait en cuisine. “Quoiqu’il arrive, tu restes la cheffe su double A”, assure-t-il. Teyssier reste discuter avec Milan. Le jeune homme lui explique que la rééducation d’Anaïs peut durer des mois. Teyssier cherche des solutions. Il comprend que ce serait plus simple pour la cheffe Grimbert de n’avoir qu’un seul interlocuteur.
Plus tard, alors que Carla et Vic cuisinent, Anaïs est extrêmement gênée par les bruits de batteur, de lardons qui crépitent dans la poêle… Milan entraîne alors Anaïs à l’extérieur. Celle-ci craint de ne pas supporter ses appareils et les retire. “En cuisine ce sera dix fois pire, dit-elle à Milan. Comment je vais faire maintenant ?”, lui dit-elle, désespérée.