Demain nous appartient : ce qui vous attend dans l’épisode 1742 du mardi 6 août 2024 [SPOILERS]

Dans le prochain épisode de “Demain nous appartient”… Georges enquête au Little Spoon pour retrouver l’agresseur de Lisa. Lilou se plaint d’être harcelée sur son lieu de travail. Bruno essaie d’échapper aux griffes de Marianne.

Attention, les paragraphes qui suivent contiennent des spoilers sur l’épisode de Demain nous appartient diffusé demain soir sur TF1 ! Si vous préférez ne rien savoir, ne lisez pas la suite.

Mardi 6 août dans Demain nous appartient…

Martin va-t-il sacrifier Aurore ?

À l’hôpital, Aaron ausculte Lisa lorsque Martin vient prendre de ses nouvelles. La jeune femme n’est pas encore totalement remise de ce qui lui est arrivé. Mais le plus étonnant, au vu de la puissance des hallucinations dont elle a été victime, c’est qu’aucune drogue n’a été révélée par ses analyses. Martin demande alors à sa collègue si elle a une idée du moment où elle a été droguée. Si Lisa n’identifie aucun moment en particulier, Aaron se rappelle qu’elle l’a appelé quand elle a pris à manger à emporter au Little Spoon.

Georges est envoyé sur place. Il interroge Nathan et Valentine qui avouent n’avoir absolument rien remarqué. En effet, ils étaient en plein rush. En retournant vers sa voiture, Georges remarque une caméra en haut d’un lampadaire.

Au commissariat, Martin, Roxane et Damien regardent les images de vidéosurveillance ensemble. On y voit Sungam, de dos, portant un chapeau de paille, verser une poudre dans le smoothie de Lisa. Les policiers comprennent que Sungam est capable d’improviser et de s’adapter à toutes les situations. Il est donc difficile d’anticiper son prochain coup. De son côté, Damien réussit à trouver quelle substance Sungam a utilisé pour droguer Lisa : il s’agit d’un puissant champignon hallucinogène.

Mise au courant, Lisa en parle avec Aaron. Ce dernier confirme que ce champignon est très puissant et qu’il est métabolisé très rapidement par l’organisme, ce qui explique pourquoi les analyses n’ont rien révélé. Aaron contacte ensuite son frère car il se souvient qu’une de ses clientes cultivait ce type de champignons. Simon lui confie le nom de cette cliente : Mme Leroux.

Pendant ce temps, Nordine accompagne Manon à son appartement après ses courses. Rachel en profite pour passer les voir et crever l’abcès. Elle jure à Manon qu’elle n’a rien à voir avec son enlèvement et regrette d’ailleurs de ne pas être intervenue quand elle a vu Sungam partir avec elle. Manon lui assure qu’elle n’a rien à se reprocher.

Au commissariat, Martin interroge Mme Leroux. Ayant été arrêtée par la police un an plus tôt, cette dernière n’a toutefois pas renoncé à la culture de champignons hallucinogènes. Toutefois, elle les cultive dans les Pyrénées espagnoles, où cette drogue est légale. Mme Leroux déclare également qu’on lui a dérobé sa dernière récolte il y a deux jours, alors qu’elle venait juste de la ramener chez elle.

Un peu plus tard, Timothée informe Martin que le cambrioleur de Mme Leroux a pris ses précautions et n’a laissé aucune trace. Le jeune homme a néanmoins une idée pour coincer leur principal suspect : au lieu d’attendre qu’il joue leurs coups à leur place, Timothée propose de prendre l’initiative pour monter une souricière et pousser Sungam à l’erreur. Il faut donc jouer une pièce maîtresse pour l’attirer. Timothée pense à la Dame… qui n’est autre qu’Aurore. Martin va donc devoir lui demander de servir d’appât…

Lilou se plaint de Charles

Au Spoon, Violette et Lizzie attendent Bastien, qui est passé au cimetière pour se recueillir sur la tombe de son père comme il le fait presque tous les jours. Quand il les rejoint, le jeune homme leur propose de relancer l’association qu’ils avaient monté en cours d’année, ayant une idée bien précise en tête.

Les trois ados se rendent au Little Spoon afin de leur proposer de les accompagner dans une transition écologique. Si Valentine est intéressée, Nathan rétorque qu’ils font déjà beaucoup de gestes pour la planète. Lizzie souligne qu’ils n’ont donc rien à perdre à signer leur charte.

Après quoi, le trio se rend à la Paillote. Bastien s’attarde auprès de Lilou, qui fait une pause sur un transat. La jeune fille se plaint de la pression qu’elle reçoit de la part de Charles dans son travail. Mais elle refuse de lui faire le plaisir de démissionner.

Bastien rejoint ensuite Violette et Lizzie pour parler à Charles de le convaincre de faire appel à leur association. Le jeune homme explique qu’il ne peut pas décider de tout et que Victor est le vrai patron. Bastien critique Charles en lui reprochant de ne pas faire d’efforts. Violette demande alors à son frère d’essayer d’en glisser un mot à Brunet s’il en a l’occasion.

Un peu plus tard, Charles profite que Victor le félicite des chiffres de la Paillote pour lui proposer d’adopter une démarche plus éco-responsable. Mais Victor n’est pas du tout intéressé.

Marianne mène Bruno à la baguette

Au Spoon, Marianne se plaint de devoir aller chercher les étagères qu’elle a commandé et de devoir les monter. Chloé propose de l’aider, mais Marianne refuse. Elle préfère demander à Bart, qui décline gentiment. Ce dernier lui suggère toutefois de faire appel à Sylvain Moreno. Mais il est parti à Montréal.

À l’hôpital, Marianne décide néanmoins de contacter Moreno Services et fait donc appel à Bruno pour qu’il aille chercher ses étagères en boutique, puis qu’il aille les monter chez elle dans la journée. Marianne se montre plutôt sèche et directive avec Bruno qui a du mal à le supporter. Il oublie de raccrocher et la critique ouvertement en compagnie de Rayane. Mais Marianne entend tout.

Un peu plus tard, Bruno passe voir Marianne à l’hôpital pour récupérer les clés de son appartement. Il essaye de lui présenter ses excuses, mais Marianne n’a pas de temps à perdre.

À la fin de la journée, Bruno retrouve Marianne au Spoon pour lui rendre ses clés. Il lui montre des photos de ses étagères montées. Marianne se rend compte qu’il ne s’agit pas des bonnes étagères. Elle insiste donc pour que Bruno répare son erreur. Ce dernier prend sur lui pour ne pas exploser.