Demain nous appartient : “Les vols de cadeaux cachent une intrigue beaucoup plus dramatique”… Les révélations de Franck Monsigny (Martin)

Rencontre avec Franck Monsigny, qui incarne le commandant Martin Constant dans “Demain nous appartient” depuis le lancement de la série, sur TF1.

Martin enquête actuellement sur un vol de Cadeaux de Noël dans Demain nous appartient, sur TF1…

Franck Monsigny : Avec beaucoup de légèreté, on va courir après un cambrioleur gentleman qui dépouille les gens qui lui semblent bien lotis, pour offrir leurs cadeaux à ceux qui ont moins de chance. Mais cette intrigue légère en cache une beaucoup plus dramatique. Et en courant après voleur, on va tomber sur un autre méchant, plus gros.

De manière plus général, que réservent les prochains épisodes à Martin ?

Deux personnages du passé vont faire leur retour, et compliquer la vie de Martin… Quant à Raphaëlle (le personnage joué par Jennifer Lauret, qui est actuellement en Bretagne aux côtés de sa fille Camille, incarcérée, ndlr) on peut espérer des retrouvailles pérennes. Nous ne nous quitterons plus.

Avec Jennifer Lauret, que pensez-vous du couple Raphaëlle-Martin ?

Non seulement on l’aime, mais on l’a voulu ! Au début, le personnage de Raphaëlle, en tant qu’avocate, était en opposition assez récurrente avec celui de Martin, le flic. Et on a tout de suite senti le potentiel de ce couple, en plus du plaisir de tourner ensemble. Ce qui m’intéressait, c’est que le personnage de Raphaëlle était libre, là où mes précédentes relations étaient plus compliquées : Chloé (Ingrid Chauvin) était mariée, Victoire (Solène Hébert) ne me considérait que comme une relation sexuelle, et Virginie (Audrey Looten) avait son fils Jules (Xavier Widhoff) comme frein. Pour le coup, j’ai une Raphaëlle qui est absolument célibataire et qui a envie. Ça change beaucoup de choses, mine de rien, et ça se sent à l’écran.

Voilà presque sept ans que vous jouez dans Demain nous appartient. Pas de lassitude en vue ?

Non, car on a beaucoup de vie en une dans DNA. C’est comme si on tournait des unitaires les uns après les autres. Je ne vois pas comment on pourrait se lasser. Il y a trop de gens qu’on croise, il y a trop de plaisir.