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Un si grand soleil

Un si grand soleil : “Ça va lui péter au visage”, ces mauvaises décisions que va prendre Hugo

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Dans une entrevue accordée à Nous Deux, les comédiens Bibi Tanga et Gaëla Le Déhévat ont évoqué la relation protectrice qu’a Becker avec sa fille Sabine, au détriment d’Hugo.

Au fil des épisodes, une romance s’est petit à petit installée entre Sabine et Hugo, dans le feuilleton Un si grand soleil. Et depuis maintenant six mois, les deux personnages semblent vivre le parfait amour. Dans les colonnes de Nous Deux, Bibi Tanga, l’interprète d’Hugo et Gaëla Le Déhévat, l’interprète de Sabine, sont revenus sur cette relation fictive.

Si le couple semble heureux pour le moment, malgré quelques maladresses, le père de Sabine, Becker, a encore du mal à accepter « son gendre » Hugo. « Becker se conduit en vrai papa poule avec sa fille. Comme elle a déjà morflé avec ses précédentes histoires d’amour, il veut à tout prix la protéger mais, pour Sabine, c’est l’heure de l’émancipation », explique Gaëla Le Déhévat…

Pourquoi Becker ne veut-il pas intégrer Hugo dans la famille ?
Elle ajoute : « Elle va devoir expliquer à son père que son attitude l’étouffe et qu’il doit cesser de la couver. Elle lui fait une sorte de crise d’ado sur le tard ! Avec Hugo, elle vit au présent car elle se protège, elle ne veut surtout pas tirer de plan sur la comète. Elle veut quelque chose de simple ».

De son côté, face au comportement de son « beau-père », Hugo est « en panique totale ». « Il veut tellement se faire accepter par Becker qu’il ne prend que de mauvaises décisions. Ça va lui péter au visage mais heureusement, Sabine trouvera les mots pour le calmer », déclare Bibi Tanga.

Bibi Tanga et Gaëla Le Déhévat se confie sur la parentalité
En comparaison avec ce sentiment de surprotection qu’a Becker envers sa fille, les deux comédiens se sont également livrés sur leur rôle en tant que parent. « Je n’ai pas été dans ce rapport parce que j’ai eu un père assez absent », confie l’actrice. « J’essaie de guider mes enfants sur le chemin de l’épanouissement et de l’autonomie. C’est un dur labeur parce qu’il faut faire taire ses peurs, mais on ne peut pas les mettre sous cloche en permanence. À un moment, il faut savoir couper le cordon pour leur rendre service », poursuit-elle.

De son côté, Bibi Tanga, qui vient de Centrafrique, a « grandi avec cette culture ». « J’ai trois enfants, je n’ai pas reproduit le schéma, mais je me questionne beaucoup sur mon rôle. On fait tous des erreurs, on apprend tous les jours à être parent et on se corrige. Ma femme trouve que je suis un papa sévère, mais sa douceur rééquilibre les choses », conclut-il.

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