Cécile traque désormais le Fleuriste, la certitude chevillée au corps qu’il s’agit de son mari Christophe. Sabine séparée d’Hugo n décolère pas d’avoir été manipulée et se met dans une situation pénible.
Hugo (Bibi Tanga) attend Sabine (Gaëla Le Dévehat) en bas de chez elle, afin d’avoir une explication quant à leur rupture. Elle se fait un plaisir de lui mettre les points sur les “i”. Elle ne lui cache pas être déçue de son attitude. Elle pensait qu’il avait saisi que ses récentes mésaventures avec Dimitri l’ont rendue complètement allergique aux mensonges. Hugo planté là est au désespoir. Pour se remettre en selle, il décide de contacter Alix (Nadia Fossier) et de lui proposer de boire un verre… Mais alors qu’Alix s’attend à passer une agréable soirée, Hugo ne vit et ne respire que pour parler de Sabine. Alix saoulée, finit par le planter là sous un faux prétexte…
La jeune professeure de maths, elle, se confie à Ève (Emma Colberti) toujours furieuse après Hugo. Pour lui prouver qu’elle a parfaitement digéré son histoire avec Dimitri – contrairement à ce que semble penser sa collègue et amie – elle se lève et va inviter un inconnu à les rejoindre à leur table. Mais la soirée avec lui s’avère incroyablement pénible…
Cécile ne lâche rien
Alors qu’il prépare le petit-déjeuner avec son fils Achille (Matthieu Rodriguez), Christophe voit la police débarquer à son domicile. Il est menotté et embarqué pour un interrogatoire. Il craque devant Cécile et Hugo et avoue ses crimes, mais les justifie estimant avoir à sa façon rendu justice. Cécile (Marie-Gaëlle Cals) lui assure personnellement qu’il ne sortira jamais de prison. Christophe se réveille finalement. Ce n’était qu’un long et très réaliste cauchemar.
La juge Alphand commence sa journée avec le commissaire Becker. Ce dernier détient en effet le seul portrait existant du Fleuriste dessiné d’après les descriptions de Gaëlle Lestrac (Hélène Degy). L’ancienne compagne d’Alex Levy est désormais sortie de prison et vit près de Paris, Cécile veut savoir si le portrait est fidèle à celui du tueur où s’il est fantaisiste. Le Fleuriste avait en effet sauvé la vie de la flic au moment de son infiltration, elle pourrait avoir choisi de protéger son identité. Cécile travaille ensuite en étroite collaboration avec Hugo qui lui donne des pistes sur le modus operandi du tueur. Toutes les scènes de crime sont signées avec la présence d’une goutte de sang, une façon évidente de revendiquer le crime. Le fait de faire disparaître le criminel pourrait signifier que l’assassin s’octroie une position divine, ou baigne dans un délire mystique. Le soir même elle apprend que Christophe a passé la journée en maraude avec le père Pavan (Marcel Gonzalez). Elle demande à son mari si cette amitié a ébranlé ses convictions, Christophe répond que rien n’a changé, il reste profondément athée…